QIMC et DMED confirment une extension majeure de la zone d'hydrogène sur plus de 11 kilomètres dans le graben du Témiscamingue, en Ontario

454 échantillons analysés - 55 % au-dessus de 500 ppm, 19 échantillons dépassant 2 000 ppm et un maximum de 2 817 ppm d'hydrogène (H2)

October 27, 2025 7:00 AM EDT | Source: Quebec Innovative Materials Corp.

Montreal, Quebec--(Newsfile Corp. - 27 octobre 2025) - Québec Innovative Materials Corp. (CSE: QIMC) (OTCQB: QIMCF) (FSE: 7FJ) a le plaisir d'annoncer que les nouveaux résultats des levés de gaz du sol réalisés dans la portion ontarienne du graben du Témiscamingue ont confirmé une importante extension vers le nord du système d'hydrogène naturel sur plus de 11 kilomètres.

Un total de 454 échantillons de gaz du sol ont été prélevés et analysés le long des lignes 5 à 8. Les résultats démontrent que 251 échantillons dépassent 500 ppm d'hydrogène (H₂), dont 116 au-dessus de 1 000 ppm, 19 au-dessus de 2 000 ppm, et une concentration maximale de 2 817 ppm. Ces données démontrent clairement une intensification des concentrations d'hydrogène vers le nord, confirmant un vaste système de dégazage structuré et contrôlé par faille dans la portion ontarienne du graben du Témiscamingue.

« Ces résultats marquent une autre étape majeure pour QIMC dans le corridor d'hydrogène Ontario-Québec, » a déclaré John Karagiannidis, président et chef de la direction de QIMC. « Nous avons confirmé que le corridor porteur d'hydrogène s'étend sur plus de 11 kilomètres vers le nord, avec plus de la moitié des échantillons dépassant 500 ppm et 19 dépassant 2 000 ppm, incluant un maximum de 2 817 ppm. Cela confirme l'existence d'un système d'hydrogène continu et contrôlé par faille à l'échelle régionale, et renforce le rôle stratégique de l'Ontario dans le corridor émergent Ontario-Québec. »

Le levé, réalisé en collaboration avec l'Institut national de la recherche scientifique (INRS) sous la supervision du professeur Marc Richer-Laflèche, continue d'élargir l'échelle et la continuité de ce corridor d'hydrogène contrôlé par les structures géologiques.

« Dans le cadre de notre engagement envers un développement régional durable, nous faisons également progresser les discussions avec la Première Nation du Témiscamingue afin d'établir un projet d'infrastructure numérique en intelligence artificielle alimenté par de l'hydrogène naturel hors réseau, » a déclaré John Karagiannidis, président et chef de la direction de QIMC. « Cette initiative vise à positionner le corridor d'hydrogène Ontario-Québec comme un pôle énergétique propre et un centre de données de nouvelle génération, permettant aux communautés autochtones et locales de participer directement aux économies numériques et énergétiques de demain. »

Lors de la seconde phase des travaux de terrain, menée dans les municipalités de Couttsville, Thwaites et Belle-Vallée (Ontario), l'équipe INRS-QIMC a complété quatre nouvelles lignes d'échantillonnage de gaz du sol totalisant 45,3 km et 454 stations. Ces levés supplémentaires, situés au nord des lignes 1 à 4, visaient à confirmer les fortes concentrations d'hydrogène observées plus au sud, notamment le long de la ligne 4.

La distribution statistique des données mesurées le long des lignes 5 à 8 a été comparée à celle des lignes 1 à 4 (Fig. 1). La présence de fortes concentrations d'hydrogène a été confirmée sur la ligne 5. Globalement, les concentrations d'hydrogène (H₂) sont généralement plus élevées le long des lignes 6 à 8 que dans la portion sud du secteur d'étude (lignes 1 et 2). Cela démontre une nette variabilité nord-sud du potentiel en hydrogène naturel dans le segment ontarien du graben du Témiscamingue. La distance entre les lignes 4 et 5 est de 1,6 km, et l'ensemble du secteur étudié, couvrant les lignes 1 à 8, s'étend sur 11,3 km selon l'axe nord-sud et 23 km selon l'axe est-ouest, représentant une superficie d'environ 260 km².

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Figure 1. Compilation statistique des données de gaz du sol pour l'hydrogène mesurées le long des lignes 1 à 8 dans le périmètre des levés géochimiques de juillet 2025 (graben du Témiscamingue, Ontario).

Pour obtenir une version améliorée de ce graphique, veuillez consulter ce lien :
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« La distribution des données, avec un grand nombre (47) de concentrations d'hydrogène dépassant 1 500 ppm, témoigne clairement de la richesse en hydrogène des sols de la vallée du Témiscamingue. Ces nouveaux résultats confirment ce qui avait déjà été démontré en 2024 pour la section québécoise du graben, notamment autour de St-Bruno-de-Guigues (QIMC), » souligne le professeur Marc Richer-Laflèche. « À ce jour, la littérature scientifique ne rapporte aucun contexte géologique comparable présentant à la fois de telles concentrations d'hydrogène et une distribution spatiale aussi vaste, » observe-t-il.

Pour la vallée du graben du Témiscamingue, cela suggère un environnement géologique combinant plusieurs éléments essentiels à la génération d'hydrogène naturel :

  • Sources riches en fer (formations ferrifères, péridotites, basaltes, dykes du Nippissing) ;

  • Apport hydrique optimal (bassin versant de la rivière des Outaouais) ; et

  • Structures tectoniques protérozoïques réactivées durant les ères paléozoïque et cénozoïque, permettant à l'eau de descendre en profondeur et à l'hydrogène de migrer vers les réservoirs (calcaires et roches dolomitiques) ou les fractures affleurantes.

Il est important de souligner que le contexte géologique quaternaire de la vallée du Témiscamingue, tant en Ontario qu'au Québec, est dominé par une épaisse couche de sédiments glaciolacustres fins. Cette couche pourrait expliquer certaines caractéristiques de distribution de l'hydrogène observées dans la vallée, notamment la diffusion latérale des fortes concentrations sur de larges zones.

Sur le plan conceptuel, la présence d'eaux souterraines et de sédiments silto-argileux fins du Quaternaire pourrait favoriser la dispersion horizontale de l'hydrogène ; cependant, les concentrations élevées suggèrent que le substrat lui-même pourrait constituer une source d'hydrogène. Pour le vérifier, de nouvelles données de gaz du sol ont été compilées dans trois régions de l'Abitibi (Duparquet, Val-d'Or Est - secteur de l'aéroport, et lac Villebon à l'est de Val-d'Or), où les roches volcaniques et sédimentaires sont également recouvertes de sédiments glaciolacustres fins.

La comparaison (Fig. 2) met en évidence la différence entre les concentrations d'hydrogène dans la vallée du graben du Témiscamingue et celles des secteurs abitibiens. Les sites de l'Abitibi présentent des valeurs médianes de 50 à 125 ppm, tandis que la vallée du Témiscamingue montre une médiane de 375 ppm, avec de nombreuses valeurs anormales dépassant 1 000 ppm - des niveaux non observés dans les sols abitibiens.

Ainsi, les données disponibles à ce jour suggèrent que les sédiments glaciolacustres ne sont pas responsables de l'enrichissement en hydrogène observé dans la vallée du graben du Témiscamingue. Cette conclusion est renforcée par la quasi-absence de méthane mesurable (CH₄ détecté dans moins de 3 % des échantillons) et par des concentrations modérées de CO₂ (moyenne de 0,6 %) dans les échantillons prélevés le long des lignes 1 à 8. Ces résultats minimisent le rôle potentiel de la fermentation de la matière organique dans les sédiments.

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Figure 2. Compilation statistique des données de gaz du sol pour l'hydrogène mesurées dans la section ontarienne du graben du Témiscamingue et le long de profils réalisés dans les régions de Duparquet, Villebon et Val-d'Or Est. Les données représentées dans ce diagramme sont filtrées pour ne conserver que les échantillons contenant moins de 1 ppm de SO₂.

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Les données présentées à la Figure 2 proviennent d'un projet de recherche de l'INRS financé par le FRQNT et faisant partie des travaux de thèse de doctorat d'Antoine Cuckovic (INRS).

« Dans le cadre de notre engagement envers un développement régional durable, nous faisons également progresser les discussions avec la Première Nation du Témiscamingue afin d'établir un projet d'infrastructure en intelligence artificielle alimenté par de l'hydrogène naturel hors réseau, » a déclaré John Karagiannidis, président et chef de la direction de QIMC. « Cette initiative vise à positionner le corridor d'hydrogène Ontario-Québec comme un pôle énergétique propre et un centre de données de nouvelle génération, permettant aux communautés autochtones et locales de participer directement aux économies numériques et énergétiques de demain. »

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La société annonce la conclusion d'un accord relatif au marketing et aux relations avec les investisseurs. Le 24 octobre 2025, la société a conclu un contrat de services médias (le « contrat NIA ») avec GRA Enterprises LLC, DBA National Inflation Association (« NIA »). Conformément aux termes de l'accord NIA, NIA fournira, entre autres, à la société des services de marketing, qui comprennent la gestion des réseaux sociaux, la création de contenu, la distribution, le marketing numérique et tout autre service de marketing convenu entre la société et NIA (les « services NIA »). L'accord NIA a une durée de six (6) mois et devrait entrer en vigueur le 27 octobre 2025 ou aux alentours de cette date. La Société versera à la NIA un montant total de 50 000 dollars américains à titre de rémunération pour les Services.

La NIA, basée à Mooresville, en Caroline du Nord, possède une solide expérience en matière de communication avec les investisseurs pour les sociétés cotées en bourse. La Société n'émettra aucun titre à NIA à titre de rémunération. NIA et ses dirigeants n'ont aucun lien de dépendance avec la Société et ne détiennent aucun intérêt, direct ou indirect, dans la Société ou ses titres, ni n'ont le droit d'acquérir un tel intérêt.

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À propos de DiagnaMed Holdings Corp. (DMED)

DiagnaMed Holdings Corp. (CSE : DMED) (OTCQB : DGNMF) est une société canadienne de technologies offrant des solutions innovantes dans les secteurs des technologies propres et des sciences de la vie. Visitez DiagnaMed.com.

À propos de Québec Innovative Materials Corp. (QIMC)

Québec Innovative Materials Corp. (CSE: QIMC) (OTCQB: QIMCF) (FSE: 7FJ) est une société d'exploration et de développement minier dédiée à l'exploitation du potentiel des ressources abondantes de l'Amérique du Nord. Avec des propriétés situées en Ontario, au Québec, en Nouvelle-Écosse et au Minnesota (É.-U.), QIMC se spécialise dans l'exploration de l'hydrogène blanc (naturel) et des gisements de silice de haute qualité. QIMC s'engage à respecter des pratiques durables et à innover. Grâce à une approche axée sur la stewardship environnementale et des technologies d'extraction de pointe, la société vise à libérer le plein potentiel de ces ressources pour propulser l'économie de l'intelligence artificielle et de la neutralité carbone.

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Président et chef de la direction

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Téléphone : +1 514 726-7058

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